Que visiter ?

• Le “castillo de San Ferran”, forteresse construite au XVIII^e siècle. Ses dimensions colossales et ses plus de trois kilomètres de périmètre en font l’ue des plus grandes forteresses d’Europe.
• La Rambla est la principale promenade et l’axe central de la ville. Cette voie commerçante animée concentre les plus ambitieux projets architecturaux des XIX^e et XX^e siècles, dus en partie à la montée de la bourgeoisie locale d’alors.
• L’église San Pere. Architecture religieuse : romane à l’origine, ce temple fut remanié au XIV^e siècle selon des canons gothiques. Lui furent ensuite ajoutés certains éléments comme la croisée et l’abside, qui datent du XVIII^e siècle.
• Le théâtre-musée Dalí : conçu par l’artiste lui-même et situé dans l’ancien théâtre municipal, il est devenu l’un des principaux rendez-vous culturels de la ville. L’enceinte s’est enrichie de la Tour Galatea où mourut le peintre.
• Le musée de l’Empordà permet de partir à la découverte de l’histoire et de l’art de la région. Tout cet ensemble nous initie à un art d’essence catalane comme le montre sa condition de berceau de la sardane, danse traditionnelle catalane.

Fêtes

• L’Acústica
• Fiesta Mayor

Le centre de Castelló d’Empuries conserve un riche patrimoine architectonique. Sa juiverie fut, après celle de Gérone, la plus importante du diocèse. Son histoire est connue par les nombreux documents qui ont été conservés et qui permettent d’identifier les monuments.

Que visiter ?

• La basilique gothique Santa María (XIV^e s.). Sa structure et ses dimensions sont celles d’une cathédrale. C’est l’un des exemples les plus intéressants de l’architecture religieuse de Catalogne.
  Sa construction, commencée au XIII^e siècle, se poursuivit durant tout le XIV^e et s’acheva au début du XV^e
  
• Le pont vell (le vieux pont). Enjambant la Muga, près de l’ancien quartier de Sant Mars, ce pont médieval à sept arches inégales semble avoir été édifié au XIV^e siècle sous le comte Pere I^er. Malmené par les guerres et les inondations, il a été réparé à diverses époques.
• Le couvent Santa Clara (XI^e s.). Couvent de religieuses clarisses, fondé en 1260 et qui, à la fin du XVII^e siècle fut transféré à l’intérieur de la ville en raison des guerres qui dévastaient la contrée.
• La synagogue. L’école ou nouvelle synagogue de la communauté juive de la ville fut fondée dans l’édifice connu sous le nom de “casa Forns”, rue “peixateries velles”. Elle est documentée depuis la fin du XIII^e siècle. Le portail situé à gauche de la façade donnait accès aux lieux de prière.
• Le lavoir. Le lavoir public est une belle construction du XIX^e siècle, qui incorpore des éléments de l’ancien couvent San Francesc qui avait été construit près de ce lieu en 1264. À remarquer les colonnes toscanes (XVI^e ou XVII^e s.), qui devaient faire partie du cloître. Elles s’intègrent dans les galeries à arcades qui entourent le lavoir.
• La Curie / musée. Édifice gothique construit vers 1336, utilisé dans le cadre de deux des fonctions propres à la ville médiévale.
  La Curie, siège du tribunal de justice, et la Prison où jeter les condamnés. Un tel complexe juridique et pénal était le symbole du pouvoir comtal de la ville, capitale du comté d’Empuries.
  La prison de Castelló d’Empuries est un modèle singulier et presque unique en Catalogne de prison de l’Ancien Régime.
• L’écomusée / La Farinera. La minoterie de Castelló d’Empuries s’élève près du moulin del Mig, l’un des trois moulins médiévaux de la ville, et profitait ainsi de l’ancien canal du moulin.
  C’est un grand édifice industriel à trois étages, qui date environ de 1905.
  On peut y voir les anciennes machines, principalement en bois et partiellement rénovées vers le milieu du XX^e siècle.
  Aujourd’hui l’écomusée–Farinera a un caractère didactique et permet de connaître de près la transformation du blé en farine.

Fêtes

• La fête médiévale
• Festa Major
• Route de l’art
• Fête du Carmen (Empuriabrava)

Empruiabrava est une grande marina résidentielle construite à partir de 1967, avec canaux et port de plaisance, située à deux kilomètres de la ville médiévale, sur la côte. Son urbanisation est faite d’un réseau cuadriculaire de plus de trente kilomètres de canaux navigables.

• Parachutisme
• Vol dans le tunnel du vent
• Promenade en bateau sur les canaux
• Kayack en mer ou sur le fleuve Muga

Outre des espaces naturels d’une grande beauté, il abrite un important patrimoine architectonique, le monastère Sant Pere de Rodes.

Que ce soit en été ou en hiver, Port de la Selva offre un grand nombre d’activités sportives. Avec un millier d’habitants, c’est un village tranquille, qui conserve la structure traditionnelle des ports de pêche même lorsque, pendant les mois d’été, sa population se multiplie par 10.

St. Pere de Rodes
Construit au X^e siècle sur la commune de Port de la Selva, sur le versant nord de la montagne de Verdera, ce monastère bénédictin jouit d’une vue impresionnante sur le cap de Creus. L’église est un exemple exceptionnel de l’art roman ; les cloîtres, les tours et les diverses dépendances permettent d’imaginer la vie de l’abbaye à l’époque de sa splendeur.

Que voir ?

• Le château de Peralada. Édifié au XIV^e siècle. Des visites guidées ont lieu dans le musée du château, ancien couvent desCarmélites : la bibliothèque, qui renferme plus de 80 000 volumes et, avec plus de 1000 exemplaires, la collection la plus complète du Don Quichotte de la Mancha, l’église du Carmen, du XIV^e siècle aussi, au plafond de bois polychrome, le musée du Verre, avec des pièces allant de l’époque des pharaons au XIX^e siècle.
• Les caves du château. Au XV^e siècle, les frères carmélites du couvent du Carmen s’occupaient déjà des vignes et produisaient du vin. Actuellement, “Cavas Castell de Peralada” est l’une des caves les plus prestigieuses du pays. Des visites guidées entraînent les groupes dans ces lieux qui contiennent plus de 4500 barriques.
• Le musée du Vin. Créé depuis 1960, sur les lieux mêmes où, jusqu’alors, avaient été élaborés les vins de Peralada. Tous les outils et les objets présentés correspondent aux phases de leur élaboration. La fin de la visite débouche dans l’anciene cave où est encore préparé, de façon artisanale, le cava Gran Claustre.
• Cloître Sant Doménec. Espace dynamique et interactif qui permet de découvrir la Perelada du XIII^e siècle et de connaître le patrimoine naturel, culturel et artistique de l’Empordà. Construction romane du XIII^e siècle, ce cloître montre à l’évidence cette installation socio-culturelle ; c’est un Centre culturel où sont régulièrement organisées expositions et conférences. Pendant les après-midi d’été, la terrasse du cloître offre un service de bar et des concerts.
• Le couvent San Bartomeo ou des religieuses. L’origine de ce couvent remonte à 1390. De la construction gothique d’origine ne restent actuellement que quelques éléments architectoniques car il fut détruit par les troupes de Napoleón. Sa physionomie actuelle date de 1835. La congrégation de religieuses abandonna le couvent en 1975 (pas de visite)
• L’église San Martín. Elle est documentée depuis 1002. L’église actuelle est de la fin du XVIII^e siècle.
• Les remparts médiévaux. Leur construction remonte au Moyen-Âge tardif, après l’incendie de 1285 ; aujourd’hui il en manque des pans importants. À signaler une tour circulaire dans l’angle sud-est de l’enceinte du couvent du Carmen et deux autres de la porte d’entrée, avec arcs en plein cintre.
• La Grand-place. Cœur de la ville depuis le Moyen-Âge, ce fut d’abord un espace ouvert mais, depuis le XIV^e siècle, la place a acquis son caractère d’espace public. Elle est entourée de beaux édifices gothiques.

Fêtes

• Festival de Peralada
• Festa Major